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Centre d’Enfouissement Technique

Caractérisation de l’impact écotoxicologique d’un centre d’enfouissement technique (CET) sur son environnement> Somme de toutes les conditions abiotiques et biotiques ayant une incidence sur la vie, le développement et la survie d'un organisme ou d'une communauté biologique. immédiat

Objectifs

Le site comprend une décharge, où sont assurées des activités de stabilisation et de stockage, de transport de déchets, de dépollution> Introduction, directe ou indirecte, par l’activité humaine, de substances, de préparations, de chaleur, de bruit, d’agents physiques ou biologiques, dans l’environnement, susceptibles de contribuer ou de causer un danger pour la santé de l’homme ; des détériorations aux ressources biologiques, aux écosystèmes ou aux biens matériels ou une entrave à un usage légitime de l’environnement. (source : Agence Française de Sécurité Sanitaire de l’Environnement et du Travail - 2006) des sols et de recyclage.

Un partenariat a été mis en place entre les experts de Bio-Tox, l’APESA et le CTBA pour une mission de caractérisation de l’impact des activités de ce site sur son environnement> Somme de toutes les conditions abiotiques et biotiques ayant une incidence sur la vie, le développement et la survie d'un organisme ou d'une communauté biologique. immédiat par des méthodes relevant de l’écotoxicologie.

Prestations

Avant de déterminer une stratégie d’échantillonnage, une lecture détaillée de l’étude de dispersion et de la rose des vents a été nécessaire. La stratégie d’échantillonnage développée avait pour objectif de collecter des sols échantillons placés sous le vent par rapport aux zones susceptibles d’émettre des gaz et des particules ainsi que des sols échantillons placés « en amont » de ces zones, et des échantillons d’eau de surface en amont et en aval du site.

Durant l’été 2001, une batterie d’essais écotoxicologiques a été mise en œuvre sur des échantillons prélevés aux abords immédiats du site. Les milieux pris en compte étaient les eaux de surface et les sols, ceux-ci pouvant être récepteurs des pollution> Introduction, directe ou indirecte, par l’activité humaine, de substances, de préparations, de chaleur, de bruit, d’agents physiques ou biologiques, dans l’environnement, susceptibles de contribuer ou de causer un danger pour la santé de l’homme ; des détériorations aux ressources biologiques, aux écosystèmes ou aux biens matériels ou une entrave à un usage légitime de l’environnement. (source : Agence Française de Sécurité Sanitaire de l’Environnement et du Travail - 2006)s ayant transitées par le compartiment atmosphérique. De plus, concernant les sols, ont été évalués les risque> Probabilité de survenue d'un Dangers liés au contact ou à l’ingestion> Mode d'exposition par voie orale. (source : Guide BRGM - Gestion des sites (potentiellement) pollués – mars 2000) de ces matrices mais également les risque> Probabilité de survenue d'un Dangers de transfert vers les compartiments aqueux (tests de lixiviat> Eau qui a été contaminée pendant son passage au travers de déchets ou de sols. Le lessivage peut s'effectuer dans des zones agricoles, des parcs d'engraissement et des décharges, et peut entraîner la pénétration de substances dangereuses dans des eaux de surface, des eaux souterraines ou le sol.ion). Les tests pratiqués étaient exclusivement des tests de toxicité aiguë.

Résultats et suite du projet

Cette campagne de mesure n’a pas permis de mettre en évidence de danger> Evénement de santé indésirable tel qu'une maladie, un traumatisme, un handicap, un décès. Par extension, le danger désigne tout effet toxique, c'est-à-dire un dysfonctionnement cellulaire ou organique, lié à l'interaction entre un organisme vivant et un agent chimique, physique ou biologique. (INVS)s aigus ni pour les eaux de surface ni pour les sols ou leurs lixiviat> Eau qui a été contaminée pendant son passage au travers de déchets ou de sols. Le lessivage peut s'effectuer dans des zones agricoles, des parcs d'engraissement et des décharges, et peut entraîner la pénétration de substances dangereuses dans des eaux de surface, des eaux souterraines ou le sol.s.

En 2002, il a été décidé de compléter ce programme de surveillance par l’évaluation des risque> Probabilité de survenue d'un Dangers chroniques. Les méthodes mises en œuvre au cours de cette seconde phase sont pour partie innovantes et font appel au concept de biomarqueurs qui permettent d’évaluer les premières altérations fonctionnelles se produisant chez des organismes exposés à de très faibles doses.

Trois essais sur quatre phylums différents ont été réalisés :
— pour les eaux de surface ; une algue verte unicellulaire et un microcrustacé ;
— pour les sols, un annélide, le ver de terreau, et un végétal supérieur monocotylédon. Les résultats collectés n’ont pas permis d’identifier de danger> Evénement de santé indésirable tel qu'une maladie, un traumatisme, un handicap, un décès. Par extension, le danger désigne tout effet toxique, c'est-à-dire un dysfonctionnement cellulaire ou organique, lié à l'interaction entre un organisme vivant et un agent chimique, physique ou biologique. (INVS)s chroniques pour les sols et les eaux de surface.

Les résultats ont montré que les activités du CET étudié n’avaient pas d’impact sur l’environnement> Somme de toutes les conditions abiotiques et biotiques ayant une incidence sur la vie, le développement et la survie d'un organisme ou d'une communauté biologique. immédiat du site en 2002.

Une seconde campagne de surveillance a été mise en place en 2005 et a confirmé la bonne gestion environnement> Somme de toutes les conditions abiotiques et biotiques ayant une incidence sur la vie, le développement et la survie d'un organisme ou d'une communauté biologique.ale de 2002 à 2005.







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