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Le Défi se fête en musique au festival des Vieilles Charrues

Venez relever le Défi pour la Terre à Carhaix pendant ces 4 jours de fête !

Dans le centre de la Bretagne, cette ville accueillera des dizaines d’artistes pour un grand festival musical du 19 au 22 juillet pour le plus grand plaisir de nos oreilles !

L’association des VieillesCharrue Venez relever le Défi pour la Terre à Carhaix pendant ces 4 jours de fête !

Dans le centre de la Bretagne, cette ville accueillera des dizaines d’artistes pour un grand festival musical du 19 au 22 juillet pour le plus grand plaisir de nos oreilles !

L’association des Vieilles Charrues relève le Défi et s’engage dans une optique de développement durable, aussi la Fondation Nicolas Hulot et l’ADEME seront-t-elles présentes pour sensibiliser les 200 000 festivaliers aux bons gestes pour la planète grâce à un stand de 150 m2 dédié au Défi pour la Terre. Plus de 30 bénévoles seront présents pour animer le stand et inciter les mélomanes à relever le Défi et à changer leurs habitudes.

Chaque engagé pourra mettre une empreinte de main verte, en signe de son engagement dans le Défi, sur une grande fresque des « mains » symbolisant le nombre d’engagés.

Source :

http://defipourlaterre.typepad.com/dfi_pour_la_terre/2007/06/le_dfi_se_fte_e.html



L’EFSA réévalue la sécurité de colorants alimentaires et adopte un premier avis - Le colorant alimentaire « Red 2G » soulève des inquiétudes sanitaires.

Le groupe d’experts AFC (sur les additifs, les arômes, les aides technologiques et les matériaux au contact des aliments) de l’Agence Européenne de Sécurité des Aliments (EFSA) a adopté le 5 juillet un avis concernant le colorant alimentaire « Red 2G » (E128). L’utilisation de ce colorant, qui n’est autorisé uniquement dans certaines saucisses de petit déjeuner et la viande de « burger », pourrait soulever des inquiétudes sanitaires. Cet avis et le premier sur une série de réévaluations qu’entreprend l’EFSA sur la sécurité d’additifs alimentaires, dont des colorants, autorisés dans l’Union Européenne.

Red 2G has been shown to convert largely in the body into a substance, called aniline. Based on animal studies the Panel concluded that aniline should be considered as a carcinogen[3]. Given new scientific evidence, it cannot be excluded that aniline’s carcinogenic potential is due to damage to the genetic material of the cells. It is therefore not possible to determine a level of intake for aniline which may be regarded as safe for humans. The Panel therefore concluded that Red 2G should be regarded as being of safety concern.

Il a été démontré que dans l’organisme le Red 2G substance se transforme en une substance appelée aniline. Sur la base d’études sur animaux, le groupe d’experts a conclu que l’aniline devrait être considéré comme cancérigène. Compte tenu de nouvelles preuves scientifiques, il n’est pas exclu que le potentiel cancérogène de l’aniline est du à une atteinte du matériel génétique des cellules. Il n’est donc pas possible de déterminer un seuil d’ingestion en dessous duquel l’aniline peut être considérer comme sure pour l’Homme. Ainsi le groupe d’expert a conclu que le « Red 2G » doit être considérer comme posant des problèmes sanitaires.

L’EFSA a informé la Commission Européenne de ses conclusions sur la sécurité du « Red 2G ».

L’avis complet sur le « Red 2G » sera prochainement publié sur le site de l’EFSA à l’adresse :

http://www.efsa.europa.eu/en/science/afc/afc_opinions.html.



La Commission confirme sa décision de mars 2007 de saisir la Cour une seconde fois dans l’affaire relative à la pollution par les nitrates des eaux de surface en Bretagne

IP/07/954

Bruxelles, le 27 juin 2007

France : La Commission confirme sa décision de mars 2007 de saisir la Cour une seconde fois dans l’affaire relative à la pollution par les nitrates des eaux de surface en Bretagne

La Commission européenne confirme sa décision de saisir pour la seconde fois la Cour européenne de justice en raison de la pollution persistante par les nitrates de captages d’eau en Bretagne. La Commission avait décidé le 21 mars 2007 d’accorder à la France un sursis de trois mois avant de saisir une nouvelle fois la Cour de justice au vu d’un nouveau plan d’actions proposé par les autorités françaises. Au terme de ce délai, la France a pris un certain nombre de mesures pour mettre en place le plan d’actions (par exemple, adoption d’un cadre réglementaire, procédures entamées pour la fermeture de 4 prises d’eau). Néanmoins, seul un nombre très faible d’exploitants ont souscrit les mesures agro-environnementales volontaires essentielles à la mise en œuvre en 2007 du plan alors que la mise en place effective des mesures obligatoires doit être impérativement concrétisée avant le 1er janvier 2008. Dès lors, la Commission estime que la France n’a pas pleinement mis en œuvre un arrêt de la Cour de justice de 2001 la condamnant pour infraction à la réglementation communautaire sur la qualité des eaux destinées à la production de l’eau potable. La Commission propose de demander à la Cour d’imposer à la France une somme forfaitaire supérieure à 28 millions d’euros et une astreinte journalière de 117 882 euros. En 2001, la Cour de justice des Communautés européennes a jugé que la France avait manqué à ses obligations imposées au titre d’une directive de 1975 visant à protéger les eaux de surface destinées à la production d’eau alimentaire de la pollution.[1] En vertu de cette directive, les eaux de surface concernées ne doivent pas contenir une concentration en nitrates supérieure à 50 mg/l. Les Etats membres devaient prendre les mesures nécessaires pour respecter en juin 1987 cette norme communautaire. La Cour a déclaré que 37 rivières en Bretagne avaient des concentrations excédant 50 mg/l. Depuis lors, la France a mis en œuvre un certain nombre de mesures visant à réduire la quantité d’azote épandu sur les terres agricoles. Toutefois, ces mesures se sont révélées insuffisantes pour 9 rivières. En mars 2007, la France a proposé un plan d’actions complémentaire pour assurer le retour à la conformité de ces rivières. La Commission considère que ce plan n’a pas été à ce jour complètement engagé, notamment du fait du peu de mesures agro-environnementales souscrites volontairement par les exploitants agricoles et des incertitudes subsistant sur la mise en œuvre effective des mesures obligatoires au 1er janvier 2008. Par conséquent, la Commission confirme sa décision de saisir la Cour pour non-exécution de l’arrêt de la Cour, tout étant disposée à poursuivre activement sa concertation sur ce sujet avec les autorités françaises.


[1] Directive 1975/440/EEC du Conseil du 16 juin 1975.

Source : Commission Européenne



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